Il n’y en a plus beaucoup aujourd’hui, mais c'était plus compliqué au début. Quatre ans sans gros conflit, c’est plutôt pas mal ! Et puis, on n’est pas obligé·e·s de travailler avec des ami·e·s juste parce qu’ils sont nos ami·e·s. Certains partent, d’autres reviennent. Et honnêtement, il n’y a pas d’art sans émotions.
Comment gérez-vous les désaccords au sein de l’équipe ?
Qu'est-ce qui vous pousse à poursuivre ce projet ?
Nous sommes ami·e·s, nous aimons nous voir, venir ici, travailler ensemble. Cela nous aide aussi à structurer nos semaines et à garder un rythme. Nous avons la chance d’avoir un espace où nous pouvons inviter des gens et créer des projets. Nous organisons également des séances de lecture pour discuter de livres ensemble.
Nous voulons le casser, car nous sentons qu’il revient petit à petit. Ces derniers temps, il y a moins de gens extérieurs à notre cercle qui viennent nous voir. Avant, nous répondions à cela par des collaborations, notamment avec Lieu Dit, mais nous devons retravailler cela. Cependant, nos prix restent très bas: tout le monde peut venir boire un verre ou manger. Nous sommes ouvert·e·s à tou·te·s.
Comment luttez-vous contre l’élitisme ?